Aller au contenu principal

La Terreur

Pour faire face à de multiples offensives royalistes et contre-révolutionnaires, la Terreur, mise en place par la Convention, sévit en France du 10 mars 1793 (date de la création d’un tribunal révolutionnaire) à la chute de Robespierre le 27 juillet 1794. Mesures répressives et punitives, oppression des libertés individuelles furent le quotidien des Français durant cette période tout en générant en littérature et en peinture un imaginaire fantasmatique.

Les principes du gouvernement révolutionnaire

Les principes du gouvernement révolutionnaire

La République en danger A l’automne 1793, les menaces qui pèsent sur la République se sont accentuées tant aux frontières qu’au cœur du pays. A Paris, la crise financière de la Compagnie des Indes ...
Rapport sur les principes du gouvernement révolutionnaire... par Maximilien de Robespierre
Rapport sur les principes du gouvernement révolutionnaire... par Maximilien de Robespierre
Rapport sur les principes du gouvernement révolutionnaire... par Maximilien de Robespierre
Un comité révolutionnaire sous la Terreur

Un comité révolutionnaire sous la Terreur

Le fonctionnement des comités révolutionnaires Dans le cadre des mesures d’exception qu'elle prend au printemps 1793, la Convention décrète le 21 mars que chaque commune ou section aura à constitue...
Le renforcement de la Terreur par le décret du 22 prairial

Le renforcement de la Terreur par le décret du 22 prairial

Mise en place d’une justice d’exception Le 9 mars 1793, la Convention instaure à Paris un tribunal extraordinaire, sans appel, destiné au jugement des contre-révolutionnaires de la capitale. Seule ...
Appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint Lazare

Appel des dernières victimes de la Terreur à la prison Saint Lazare

A l’été 1794, la « Grande Terreur », mise en place par leslois de prairial an II (mai 1794)[1], sévit impitoyablement. La guillotine avait été déménagée de la place de la Révolution (aujourd’hui place...
La fin d'Hébert et des Enragés

La fin d'Hébert et des Enragés

L’appel à une nouvelle insurrection sans-culotteDepuis 1790, Jaques-René Hébert publie Le Père Duchesne dont le langage cru remporte un vif succès auprès des sans-culottes : le titre a déjà été utilis...
Le procès de Danton et des Indulgents

Le procès de Danton et des Indulgents

L’élimination des factionsDès le 5 nivose an II (25 décembre 1793), Robespierre dénonce les « enragés », dirigés par Hébert, et les « indulgents », menés par Danton et Desmoulins. En effet, la Convent...
Séance du 9 Thermidor

Séance du 9 Thermidor

En matière politique, l’année 1793 est marquée par deux mesures d’exception : l’établissement de la Terreur en septembre 1793 et le décret du 4 décembre 1793 (14 frimaire an II), qui fixe les compéten...
Le 9 thermidor

Le 9 thermidor

La multiplication des intrigues contre Robespierre et la chute de l’Incorruptible Hébert et Danton exécutés, Marat assassiné, Robespierre reste le seul homme fort de la Révolution ; il incarne la R...
Table sur laquelle fut étendu Robespierre blessé, le 9 thermidor an II(27 juillet 1794).
Bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire aux quatre coins de la table.
Faisceaux de licteurs surmontés de bonnets phrygiens, emblèmes ajoutés à l'époque révolutionnaire
Le matin du 10 thermidor an II

Le matin du 10 thermidor an II

Le 9 thermidor an II (27 juillet 1794), Robespierre, devant la Convention, est empêché de s’exprimer. L’Assemblée l’accuse de conspirer et le traite de tyran. Il est bientôt décrété d’accusation ainsi...
Thermidor et l'imaginaire de la Terreur

Thermidor et l'imaginaire de la Terreur

Après la mort du roi le 21 janvier 1793, la jeune République française a dû faire face à de multiples offensives royalistes et contre-révolutionnaires, à l’intérieur comme à l’extérieur des frontières...
Les Formes acerbes.
Acte de Justice du 9 au 10 thermidor
Le triomphe de la guillotine.