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Lettre d’information - Avril 2024

Ce mois-ci, l’Histoire par l’image revient tout d’abord sur le destin méconnu de Louis XVII, fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Nous nous intéressons ensuite à Honoré Daumier, considéré comme l’un des dessinateurs de presse les plus célèbres de sa génération. Il fut un chroniqueur implacable de la comédie humaine de son époque. Enfin, nous nous attardons sur la figure de Don Quichotte qui fascina de nombreux artistes dont Honoré Daumier et Gustave Doré.
Dans le cadre de l'exposition Brancusi qui a lieu au Centre Pompidou jusqu’au 1er juillet, nous vous proposons notre étude sur une photographie de l’artiste travaillant dans son atelier.
Notre animation revient sur la célèbre une de l’Aurore du 13 janvier 1898 : “ J’accuse …” par Émile Zola.

Le destin de Louis XVII

Louis XVII au Temple, réalité et légende
Portrait de Louis XVII à la prison du Temple - VIEN Joseph-Marie, Le Jeune

Portrait de Louis XVII à la prison du Temple

VIEN Joseph-Marie, Le Jeune

Après la mort de Louis XVI puis de Marie-Antoinette, leur fils, le jeune Louis XVII, est confié au cordonnier Antoine Simon et à sa femme. Lorsque ces derniers quittent la prison du Temple en janvier 1794, il reste seul et privé de soins pendant six mois. Sa santé mentale et physique se dégrade. Il meurt en juin 1795 de la tuberculose – comme son frère avant lui.

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Nadar et la photographie aérienne

Nadar, l’art et la photographie
Nadar élevant la photographie à la hauteur de l'Art - DAUMIER Honoré

Nadar élevant la photographie à la hauteur de l'Art

DAUMIER Honoré

Félix Tournachon, dit Nadar, apparaît comme le grand aventurier de la photographie. Connu pour ses caricatures puis pour ses portraits photographiques, il brevète et s’adonne à la photographie aérienne et rassemble en 1862 sur le Champ de Mars une foule gigantesque venue admirer l’envol du « Géant », la montgolfière de Nadar. C’est cet épisode que croque avec humour le dessinateur Honoré Daumier.

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Le Salon sous les traits de Daumier

Daumier et les critiques d’art
La Promenade du Critique influent - DAUMIER Honoré

La Promenade du Critique influent

DAUMIER Honoré

Au début du XIXe siècle, le Salon annuel de peinture et de sculpture a acquis une importance centrale dans la vie sociale parisienne. Il devient aussi une attraction populaire. Dans ces deux dessins à l'ironie mordante, Daumier dépeint d’un côté la prétention du critique d’art influent et de l’autre, le désarroi d’un couple parcourant l’exposition catalogue en main.

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L'estampe élevant au rang d’art

Daumier et les amateurs d'art
L'Amateur d'estampes - DAUMIER Honoré

L'Amateur d'estampes

DAUMIER Honoré

Le XIXe siècle connaît une démocratisation de l’art et un élargissement du cercle de ses amateurs. Grâce à la diffusion de la lithographie, l’estampe, longtemps tenu pour un art mineur et populaire, fait désormais l’objet d’un vif intérêt pour tous. Elle est désormais considérée comme de l’art proprement dit. C’est ce qu'évoque Daumier dans cette huile et cette aquarelle.

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Représenter Don Quichotte

Don Quichotte par Daumier et Doré

"Son imagination se remplit de tout ce qu'il avait lu"

DORE Gustave

Au XIXe siècle, la France nourrit une fascination pour l’Espagne et particulièrement pour le personnage de Don Quichotte, inventé par Miguel de Cervantes au début du XVIIe siècle. Sa figure inspire de nombreux artistes comme Gustave Doré qui en 1863 prépare une édition illustrée de 377 dessins. Connu pour ses dessins de presse et ses illustrations, Honoré Daumier propose ici une peinture de Don Quichotte.

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L’Expo du mois

En lien avec la rétrospective Brancusi au Centre Pompidou, découvrez notre étude sur l’artiste que l’on voit dans son atelier.

Brancusi travaillant à La Colonne sans fin, Constantin Brancusi, Centre Pompidou – Musée National D’art Moderne – Centre De Création Industrielle (Paris)

Vidéo du mois

J’Accuse est publié le 13 janvier 1898 dans le journal L’Aurore : Émile Zola écrit à Félix Faure, le président de la République cette lettre ouverte dénonçant l’acquittement d’Esterhazy et le refus d’innocenter le capitaine Dreyfus malgré de nouvelles pièces accablantes.
L’affaire Dreyfus va s’enflammer, divisant la France entre dreyfusard et antidreyfusard à partir du procès de Zola qui suit ce pamphlet. Il faudra cependant attendre 1906 pour que le capitaine Dreyfus soit totalement réhabilité.

L'Aurore : littéraire, artistique, sociale, 13 janvier 1898

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